Page:Senancour - Rêveries, 1833.djvu/355

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nation ? Mais de lâches sollicitudes m’affaiblissent ou m’égarent. Avais-je besoin de ce qui me retient, de ce qui m’inquiète sans cesse ? Pourquoi dépendre de ce que je ne désire point ? N’aurai-je pas une heure avant que tout s’accomplisse, n’aurai-je pas un moment de force et de simplicité ?