— Oui. Les voilà. Que Dieu envoie quelqu’un — pour les lire, et non-seulement pour les lire, mais pour nous apercevoir, — et non-seulement pour nous apercevoir, — mais pour nous venir en aide. Oh ! quel froid ! quel froid ! quel froid !
— Que vois-je ? Deux Anglais dévalisés par les bandits !
— L’un d’eux à l’air d’être un gentleman. — C’est dommage que la fortune lui ait été dure — au point de le faire tomber entre les mains désespérées des voleurs. — Je vais l’interroger sur sa condition. — Dieu vous garde, monsieur ! Vous êtes Anglais ?
Oui, monsieur, un Anglais en détresse.
Et vous, qui êtes-vous, mon ami ?
Qui ? moi, monsieur ? Ma foi, je ne sais pas trop moi-même ce que je suis pour le moment ; mais, monsieur, j’étais forgeron, monsieur, un pauvre maréchal de Putney. Voilà mon maître, monsieur, là-bas. J’ai été volé pour l’amour de lui, monsieur.
— Je vois que vous avez été rencontrés par les bandits, — et alors je n’ai pas besoin de vous demander pourquoi vous êtes dans cet état… — Mais, Friskibal, pourquoi questionnes-tu ces gens-là — sur leur situation, et ne soulages-