— Voici assurément le lieu où ce faquin — m’a donné rendez-vous. S’il vient, soit ! s’il ne vient pas, soit ! — Si ze m’apercevais qu’il a voulu se zouer de moi, — ze l’attraperais, ze l’empoignerais, ze le tarabusterais, — et ze le houspillerais de la belle manière.
— Qui va là ? sir Arthur ! ranzons-nous.
— Je cours, à travers champs, après l’homme du Devonshire, — dans la crainte qu’il ne lui arrive malheur. — Je me suis douté hier soir — que Flowerdale et lui auraient une rencontre ce matin. — Certes, Olivier ne craint pas Flowerdale, — mais j’ai voulu m’assurer de la loyauté des deux rivaux, — et juger par mes yeux de leur valeur. Voilà pourquoi je suis venu.
Bonjour, maître Olivier.
Bonzour.
Eh quoi ! maître Olivier, seriez-vous fâché ?
Quand ze le serais, vous en offenseriez-vous ?