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SCÈNE XI.
george.
Un diable véritable, capitaine ! Il n’en a jamais existé un seul. Sur ma parole, celui qui a cette fonction-là est un coquin aussi feux que notre dernier marguillier.
le capitaine.
En ce cas, George, il a la conscience suffisamment fausse.
cris des prisonniers, dans l’intérieur de la prison.
Bons gentlemen qui passez, secourez-nous… Bons gentlemen qui passez ! Bon sir Godfrey !
Entrent sir Godfrey, maître Edmond Plus, et Nicolas.
george.
Le voici ! le voici !
nicolas, montrant le capitaine à sir Godfrey.
Maître, voilà mon cousin, là, en justaucorps de buffle.
Montrant sir Godfrey au capitaine.
Cousin, voilà mon maître, là, en chapeau de taffetas, faites-lui, je vous prie, un profond salut.
Sir Godfrey et le capitaine se saluent.
sir godfrey, au capitaine.
Eh bien, mon ami…
Il s’entretient à part avec le capitaine.
george, saluent Edmond.
Pourrais-je avoir communication de votre nom, monsieur ?
edmond.
Je m’appelle maître Edmond.
george.
Maître Edmond ! Seriez-vous welche, monsieur ?
edmond.
Welche ! et pourquoi ?
george.
Parce que maître est votre prénom, et Edmond votre nom de famille.