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Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 3.djvu/40

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(À Flavius.) Dès que tu les auras touchés, donne-les à ces gens dont je suis le débiteur. Ne dis et ne pense jamais que la fortune de Timon puisse périr au milieu de ses amis.

FLAVIUS.—Je voudrais bien n’être jamais dans le cas de le penser. Cette confiance est l’ennemie de la bonté ; étant généreuse, elle croit que les autres le sont comme elle.

(Ils sortent.)
FIN DU DEUXIÈME ACTE.