Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/160

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låå LES Boirndîioišnš IÎE ivîivnson. mádeciiiai Îfoÿei-Vous, monsieur Fenton ? 42 Cfèsi ifîon ouvrage.

renren.—J e te remercie, et je lelprie, ce soir, île trdiil irèr le moment 'de-donne1* cette bague a se chère Nail : voilà. pour ta peine.

(Il sort.)

buicnnr ;-Va, que le ciel Ifenvoie le bonheuiii Quel bon cœur ila ! Une femme passerait à travers l’e :`iu ef ; lé feu pour servir un si bon cuiuri Mais pourtant je voudrais que mon maître obtint misiriss Anne, ou j`ë vbudrais que M. Slencler Pobtint, ou, en vérité, je voudrais que ce fût M. Fenton. Je ferai mon possible pour tous les trois, car je Fai promis, et je tiendrai ma paföle ; mais spécieusement* zi M. Fenton.-Mais nes dames m*onl ; donne une autre commission pour le chevalier sir John Falstaff. Quelle bête je suis de m’aniúser 1C1.` *

inné sort.)

SCÈNE V

Une chambre dans Phómellerie de la. Jarretîère.

  • Entrent FALSTAFF nr BARDOLPH.

FALSTAFF.-Bardolph, hola ! A

nannonrn.-Me voila, monsieur.

ÎPALS'Î`AFF.-VH, me chercher une pinte devin f1'Espagne, et mets une rôtie dedans. (üarclolphi sort.) Ai>je vécu si longtemps pour être emporte dans un panier comme un tas de viande de rebut, et pour êtrejete dans la Tamise ? Bien, bien, si jamais je m’expose zi. pareil tour, je veux bien qu’on prenne ma cervelle pour la fricasser au beurre, etla donner au premier chien pour ses etrènnes. Les coquins nfont renversé dans le canal avec aussi pîãiiîîe remords que s’i1s avaient noyé une portée de quinze petits chiens encore aveugles ; et on peut juger à ma taille que je plonge avec quelque vélocite. Le fond touchât-t-il aux enfers, j’y arriverais. Heureusement que la rivière se 4 Elle veut dire spécialement.