- p Aura lv, scîiun 11. 467
.nzisrnlss PAGE`:-~Adieu, mon bon sir Hugh. -(Sir Hugh sort.) Allez a la maison, petit garçon ; nous, nous n“avons pas*de›temps à perdre.
- (Ile sortent.)
SCÈNE II
Une pièce dans 1a maison de Ford. Enzq-au MISIERISS Form nr FAÎ.STAF.F.. FALSTAFF.-Mistriss Ford, votre chagrin a fait eyanouir le.mien. Je vois que votre amour pour moi Aconnait les égards qui me sont dus, et je promets de d’acquits : e1= envers vous avec scrupule ; non-seulement, mistriss Ford, en ce qui concerne le simple devoir de l’amour, mais Çlans tous ses alentours, circonstances et dépendances. Mais êtes-vous tranquille sur votre mari auf jourd’l ; nii¢ ? J
. nusrngss ronn.-Il est à la chasse a l’oiseau, tendre s1r Iohn.
— (Mistriss Page derrière le théâtre.) ` « Mxsrmss PAGE.-Holà, commère Ford, hola ! nnsrniss Foren.-Passez dans la chambre, sir John. (Entre mistriss Page.)
msrnrss morz.—Bonjour, ma belle. Dites-moi, qui avez-vous au logis ? \ ~'
Misfrniss Fonn. ;Quoi ? personne que mes gens. nisrniss PAGE.-«Bien sur ? ' `
Misrmss Fonn.-Non en vérité. (Bas.) Parlez plus haut, Mxsraiss PAGE.-Vraiment ; allons, je suis l bien contente que vous n’ayez personne ici.-irxsrniss nono.-Pourquoi ? V ` ixnsfrniss PAGE.—Pourquoi, voisine ! Votre mari est res tombé flansses premières folies. Il fautïentendre là-bas, avec mon mari, comme il prend la chose a cœur, comme il cleclame contre tous les gens mariés, comme il maudit toutes les filles f1`Eve, de quelque couleur qu’elles puisl sent être : il faut le voir se ilrapper le front en criant :