Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/281

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ACTE Y, sciiitn Iv. 277 S QÈN E II I ` Eat scène esttqujoqrs en gngletezjre.—Un champ gie bataille. \. élqnnes. — Entrent LE ROI JEAN ET HUBERT, LE noi.jEAN.-Comment la journée tourne-1 ;-elle pour nous ? Oh 1 dis-le-moi, Hubert. HUBERT.—llial, j’en ai peur. Comment se trouve Yotye Maj este 'I ' J in roi JEAN.-Cette fievre, qui me tourmente depuis longtemps ; m’accable tout à fait. Ohi ! mon cœ1¿§ est lade. \ (Entre un messager.) LE nitzssμtsu.-Seigne111*. votre brave cousin, Faulconbridge, pçielfotre Majesté' de quitter le cligxnip de bataille, et de lui faire savoir pafinioi la goute que \fous prendrez `-LE not ing, -Dis-lui du côté de Stvinsteçtcljãt lfabbgtyç de*ce lieu, * J ' LE zqissstiexm.-Ayez bon courage : le puissent secougë que le dauphin attendait ici 21 fait naufrage, il y a trois nuits, sur les sables de Godyvin. Cette nouvelle vient ât l’instant même d’être a.pp Qrtee et Richarcl, Les Français combattent niplleinent, et commencentãt se getiijein LE nor JEAN.-Hélas ! cette çrueile fievre me consume et ne me laisse pas la šorce de Jouir de cette heureuse nouvelle, Marchons veijs Swinstead ; qiÿon me mette in l’instant dans ma litière : la faiblesse s’est emparee de moi, et je me sens défaillir. " ' (Ils sortent.) SCÈNE IV Un autre endroit sur le champ de bataille. SALISSURE, PEMBROKE, QIGQT. ëeéleweï—Je ne Ql’9YaiS pas que le rei 99fl§ .@1'Yâte11 : tailt d’à, rnis.