Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/290

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286 LE nor JEAN.,

ma iwrixnn.—Oli ! ne donnons zi la circonstance que los douleurs nécessaires ; nous sommes en avance de chagrin avec le passé.—Celle Angleterre n’esL jamais tombée et ne tombera jamais aux pieds orgueilleux d’un vainqueur, qu’elle ne l’ait d’al)orcl aide elle-même 51 la blesser. Maintenant que ses chefs sont revenus à elle, que les ¿5rois parties du monde viennent armées contre nous, et nous leur tiendrons tête ! Bien ne peut nous accabler si l’Ang1eterre reste fidèle à elle-même. (Ils sortent.)

FIN DU CINQUIÈME ET DERNIER ACTE 1