Assez ! assez ! assez ! — Que la sorcière m’emporte, si j’avais cette intention ! — Que l’allégresse germe où sont tombées ces larmes ! Mes généreux amis, — vous prenez ce que je dis dans un sens trop douloureux ; — je vous parlais pour vous encourager, quand je vous demandais — d’incendier cette nuit avec des torches ! Sachez, mes chers cœurs, — que j’ai bon espoir pour demain. Si je vous conduis au combat, — c’est que j’en attends la victoire et la vie — plutôt que la mort et la gloire. Allons souper ; venez et noyons les réflexions (25).
— Bonne nuit, frère ; demain est le jour.
— Oui, qui décidera de tout : bonne chance ! — N’avez-vous entendu rien d’étrange dans les rues ?
— Rien : quelles nouvelles ?
Ce n’est probablement qu’une rumeur : — bonne nuit à vous.
Allons, mon cher, bonne nuit.