Merci. Tu as touché juste.
C’est l’explication la plus bienséante.
Sache que je suis la rose de la bienséance.
Fais-la-moi sentir.
La rose même !
Mon escarpin t’en offre la rosette !
Bien dit. Prolonge cette plaisanterie jusqu’à ce que ton escarpin soit éculé ; quand il n’aura plus de talon, tu pourras du moins appuyer sur la pointe.
Plaisanterie de va-nu-pieds !
Au secours, bon Benvolio ! mes esprits se dérobent.
Donne-leur du fouet et de l’éperon ; sinon, je crie : victoire !
Si c’est à la course des oies que tu me défies, je me récuse : il y a de l’oie dans un seul de tes esprits plus que dans tous les miens… M’auriez-vous pris pour une oie ?
Je ne t’ai jamais pris pour autre chose.
Je vais te mordre l’oreille pour cette plaisanterie-là.
Non. Bonne oie ne mord pas.