— Jalousie ! jalousie !
Eh bien, l’ami, — qu’est-ce que tout ça ?
— Monsieur, c’est pour le cuisinier, mais je ne sais trop ce que c’est.
— Hâte-toi, hâte-toi.
Maraud, apporte des bûches plus sèches, — appelle Pierre, il te montrera où il y en a.
— J’ai assez de tête, monsieur, pour suffire aux bûches — sans déranger Pierre.
— Par la messe, bien répondu. Voilà un plaisant coquin ! Ah ! — je te proclame roi des bûches… Ma foi, il est jour. — Le comte va être ici tout à l’heure avec la musique, — car il me l’a promis.
Je l’entends qui s’avance… — Nourrice ! Femme !… Holà ! nourrice, allons donc !
— Allez éveiller Juliette, allez, et habillez-la ; — je vais causer avec Pâris… Vite, hâtez-vous, — hâtez-vous ! le fiancé est déjà arrivé ; — hâtez-vous, vous dis-je.