Non, monsieur, j’ai dit que son cheval venait avec lui sur son dos.
Eh ! c’est tout un.
Nenni, par saint Jacques ! je vous parie deux sous qu’un homme et un cheval font plus qu’un, sans néanmoins faire plusieurs.
— Allons, où sont ces galants ? Qui donc est au logis ?
— Vous êtes le bienvenu, monsieur.
Et pourtant je pourrais être mieux venu.
— Vous ne boitez pourtant pas.
Seulement vous n’êtes pas aussi bien paré — que je l’aurais souhaité.
— Il fallait avant tout se presser d’arriver… — Mais où donc est Catharina ? Où est mon aimable fiancée ?… — Comment va mon beau-père ?… Messieurs, vous me semblez avoir la mine bien sombre. — Pourquoi toute cette belle compagnie reste-t-elle ébahie, — comme si elle voyait quelque étrange monument, — quelque comète ou quelque prodige extraordinaire ?
— Voyons, Monsieur. Vous savez que c’est aujourd’hui le jour de vos noces. — D’abord nous étions tris-