— De mon sieur Biron, un bon maître à moi, — à une dame de France qu’il a appelée Rosaline.
— Tu as donné une autre lettre pour la sienne… Allons, mes seigneurs, partons…
— Prends toujours celle-ci, ma chère, tu recevras un autre jour celle qui t’est adressée.
— Qui donc fait ici la chasse galante ?
Dois-je vous l’apprendre ?
— Oui, mon continent de beauté.
Eh bien, c’est celle qui brandit l’arc. — Bien paré, n’est-ce pas ?
— La princesse va détruire les bêtes à corne ; mais quand tu te marieras, — je veux être pendu si les cornes manquent cette année-là. — Bien rispoté, n’est-ce pas ?
— Je prouverai donc que je suis bonne tireuse.
Oui, mais qui sera votre cerf ?
— Si je le choisis aux cornes, ce sera vous : approchez. — Bien frappé, pas vrai ?
— Vous vous querellez toujours avec elle, Boyet, et elle frappe au front.