— Quand je te nomme. — Je te battrais volontiers, mais j’infecterais mes mains.
— Je voudrais sur ma parole les faire tomber en pourriture.
— Arrière, engeance de chien galeux ! — Je me meurs de colère à te voir vivant ; — je me trouve mal à ton aspect.
Puisses-tu crever !
Arrière, — fastidieux coquin ! je regrette de perdre une pierre pour toi.
Brute !
Misérable !
Crapaud !
Coquin, coquin, coquin !
— Je suis écœuré de ce monde hypocrite ; et je n’en veux accepter — que les nécessités essentielles. — Donc, Timon, creuse sur le champ ta tombe ; — choisis, pour y reposer, un lieu où la blanche écume de la mer puisse fouetter — chaque jour ta pierre tumulaire ; compose ton épitaphe, — en sorte que ta mort nargue la vie des autres !…
— Ô toi, doux régicide ! cher agent de divorce — entre le fils et le père ! brillant profanateur — du lit le plus pur