Vive Brutus ! vive, vive Brutus !
— Ramenons-le chez lui en triomphe !
— Donnons-lui une statue au milieu de ses ancêtres.
— Qu’il soit César !
Le meilleur de César — sera couronné dans Brutus.
— Ramenons-le jusqu’à sa maison avec des acclamations et des vivats.
— Mes compatriotes…
Paix ! silence ! Brutus parle.
— Paix, holà !
Mes bons compatriotes, laissez-moi partir seul, — et, à ma considération, restez ici avec Marc-Antoine. — Faites honneur au corps de César et faites honneur à la harangue — que, pour la gloire de César, Marc-Antoine — est autorisé à prononcer par notre permission. — Je vous en prie, que personne ne parte — avant que Marc-Antoine ait parlé.
Holà, restez ! écoutons Marc-Antoine.
— Qu’il monte à la chaire publique ! — Nous l’écouterons. Noble Antoine, montez.