et vous tous, mariés et mariées, — faites retomber en mesure vos groupes bondissant de joie.
— Pardon, monsieur. Si je vous ai bien entendu, — le duc a embrassé la vie religieuse — et jeté au rebut les pompes de la cour.
— Oui.
C’est près de lui que je veux aller : avec ces convertis — il y a beaucoup de choses à apprendre et à recueillir.
— Vous, je vous lègue à vos anciens honneurs, — que votre patience et votre vertu ont bien mérités.
— Vous, à un amour dont votre constance est bien digne.
— Vous, à vos domaines, à vos amours et à vos augustes alliés.
— Vous, à un lit longuement et galamment conquis.
— Et vous, aux querelles de ménage ; car pour votre voyage amoureux — vous n’avez que deux mois de vivres. Allez à vos plaisirs ; — il m’en faut, à moi, d’autres que la danse.
Restez, Jacques, restez.
— Je ne suis point fait pour ces passe-temps… Vos ordres, — je les attendrai dans votre caverne abandonnée.