Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
192
LES JOYEUSES ÉPOUSES DE WINDSOR.
page.
— Eh bien, quel remède ? Fenton, que le ciel te tienne en joie ! — Ce qui ne peut être évité doit être accepté.
falstaff.
Quand les chiens chassent la nuit, toute proie leur est bonne.
mistress page.
— Soit, n’y pensons plus, maître Fenton ! — Que le ciel vous accorde maintes, maintes journées de bonheur ! — Mon cher mari, retournons tous à la maison, — et allons achever cette plaisanterie autour d’un feu de campagne, — sir John comme les autres.
gué.
— Qu’il en soit ainsi !… Sir John — vous aurez encore tenu parole à maître Fontaine, — car il couchera cette nuit avec mistress Gué.
Ils sortent.
fin des joyeuses épouses de windsor.