Page:Shelley - Œuvres poétiques complètes, t1, 1885, trad. Rabbe.djvu/15

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A M. H. SIGNORET

DÉDICACE DU TRADUCTEUR

« Qu’il est doux de s^asseoir et de lire les contes des puissants poètes, et d’entendre toujours la suave musique, lorsque l'attention tombe, remplir la pause obscure ! » Shelley : Fragm.

« Bientôt mes paroles humaines trouvèrent de la sympathie dans des cœurs humains. Les plus purs et les meilleurs, comme un ami avec un ami, firent cause commune avec moi ; ils furent en petit nombre, mais résolus. » Shelley : Laon et Cythna, IX, 9.

Ces vers de Shelley vous rappelleront les doux moments passes en sa compagnie, et la grande part que vous et vos amis avez bien voulu prendre à ce trop faible hommage rendu à son génie. F. R.

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