Page:Shelley - Frankenstein, ou le Prométhée moderne, trad. Saladin, tome 3.djvu/261

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terai triomphant sur mon bûcher funéraire, et je tressaillerai de joie dans l’agonie au milieu des flammes dévorantes. La lueur de ce foyer s’affaiblira ; mes cendres seront emportées dans la mer par les vents. Mon esprit reposera en paix ; ou s’il pense, il ne sera certainement pas en proie aux mêmes pensées. Adieu ».

» Il dit, et s’élança par la fenêtre de la cabine, sur le radeau de glace qui était attaché au vaisseau. Il fut bientôt emporté par les vagues, et perdu dans l’obscurité et l’éloignement ».


FIN DU TOME TROISIÈME ET DERNIER.