Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/123

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Car il est mort mon amour fragile qu’engendra le temps, le tourment des nerfs dans la maison de santé, le moment de solitude loin de la vérité du cœur !

Ces roses sont l’adieu tranquille et résigné de Paula Weigt qui est partie ce matin avec sa mère guérie…

Et je songe avec piété à cette petite fille, dont j’ai effeuillé voluptueusement les sensations, qui s’en va, semblant avoir échangé cette guérison, contre son intime douleur !