Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/13

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Brille donc davantage intérieurement, ô céleste lumière ! que toutes les facultés de mon esprit soient pénétrées de tes rayons ; mets des yeux à mon âme ; écarte et disperse tous les brouillards, afin que je puisse voir et dire les choses invisibles aux yeux des Mortels ».

Milton (Le Paradis Perdu).