Aller au contenu

Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/151

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Jan ne comprenait pas…

— « Tiens les voilà de plus près… » Et il en profitait pour rapprocher son visage, coller sa bouche ardente contre la bouche sensitive de Thérèse. »

« Celle-ci reculait, se refusait. Elle ne voulait que ses yeux. Elle recommençait à voyager dans ses yeux. C’étaient de l’eau indéfinie, les îles, les perroquets, les fruits sans noms… »