Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/34

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Après-midi.



Rien ne change… Toujours des yeux cachés derrière des verres noirs, derrière des toiles. On cause encore de son mal, le même mal, l’éternel même mal ; cela m’énerve au degré d’un refrain qui se chanterait à toute heure, à toute minute.

Il me prend des envies de bâillon-