Aller au contenu

Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/33

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


            Riez, fuyante courtisane,
            Messagère de volupté !
            Quand les temps auront emporté
            Votre jeunesse qui me damne,

            Vous vous souviendrez de mes bras
            Qui vous mentent et vous supplient
            Et vous songerez à Marie
            Que Pierre Ronsard célébra.