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Page:Sicard - Le Jardin du Silence et la Ville du Roy, 1913.djvu/95

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IV


Ô portrait de Granet dans ce Musée tranquille
            Comme vous êtes beau !
Si la mort me permet de choisir un asile,
            Si l’éclat d’un pinceau

Me doit perpétuer, je voudrais cette place,
            Dans l’ombre, auprès de vous.
Mon cœur saura tenir dans ce petit espace ;
            Je n’aurai de jaloux