Page:Sicard - Le Laurier Noir, 1917.djvu/120

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          Ô rêve qui chancelle !
          Ô regard désolé !
          Du divin narguilé
          Où sont les étincelles ?

          Des larmes et des croix,
          Des déserts sur nos peines,
          Des corbeaux aux fontaines,
          Du sang sur les détroits.