Page:Sienkiewicz – Hania, traduction Chirol.djvu/83

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suivirent son cercueil, car les vacances avaient été prolongées, et seule sa mère, pauvre marchande d’images et de cierges, pleura amèrement sur la tombe de son fils, — que souvent elle ne comprenait pas, mais qu’elle aimait, comme toute mère aime son enfant.