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LE SAGE DE LA POUSTA
Une après-midi, je traversais en voiture la pousta de Csabacsűd, cahoté tantôt sur les mamelons de soude, tantôt dans les bourbiers. Nous eûmes bien du mal à arriver jusqu’au karám[1]. Le pâtre menait à l’abreuvoir ses bœufs qui, paresseusement, s’affaissaient sur l’auge et se désaltéraient à même.
- ↑ Bergerie.