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Page:Sigismond de Justh Le livre de la Pousta 1892.djvu/272

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ADIEUX.

d’en haut, tout en haut, je vois au milieu de l’abîme, où il n’y a pas de chant, pas de fleur, pas d’amour.

La mélodie continue, éclairant de sa tristesse les sentiers escarpés et inconnus que j’ai encore à parcourir, m’emportant loin d’ici, là où la vie est autre, là où autre est la mort.

Adieu, berceau de ma jeunesse… adieu, féeries de mes rêves… adieu, mon doux chez moi… Adieu… adieu…