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Page:Signoret - Le Livre de l’amitié, 1891.djvu/132

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ÉPILOGUE


Cher lecteur, si parfois ma cantilène émue,
Par son accent poignant te charme et te remue,
Ne crains rien ; car ce livre est né sous l’œil de Dieu,
Aime pour devenir meilleur. Lecteur, adieu.


FIN