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Page:Signoret - Le Livre de l’amitié, 1891.djvu/39

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FLEURS


Quand sur ton bras penchant ta tête,
Je vois tes yeux sur moi s’ouvrir,
Je crois voir s’ouvrir deux violettes
Ou deux bluets s’épanouir.

Et sur ta bouche qui rougeoie,
Ainsi que les coquelicots,
Chantent mes baisers musicaux,
L’hymme du rêve et de la joie !