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Page:Signoret - Le Livre de l’amitié, 1891.djvu/42

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X

Je ne te connais pas, mais te reconnais ;
Je t’avais vu jadis dans les éternités roses,
Sur ces îles où verdoie la forêt des Causes.
Pour être aimé de toi, te revoyant, je te donnais
Les odoriférants jaunes genêts.