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JOYEUSETÉ DE GARNISON
I
ar un beau dimanche qu’il n’avait
trouvé vraiment rien de mieux à
faire, le capitaine Bergace était venu
assister à la sortie de la grand’messe, en
compagnie de son camarade le capitaine Blanc-Piton.
Et tous deux prenaient un plaisir, innocent
d’ailleurs, à voir les beautés de la ville
défiler sous leurs regards, un livre d’heures
dans leurs mains gantées. Je vous fais grâce
des réflexions qu’ils échangeaient à propos de
chacune d’elles. Ils étaient nouveaux dans la