gations n’avait pas été prévu par le code. On les débouta des fins de leur plainte. Ils sont condamnés à vivre ensemble, si cela plaît à un seul des deux.
VI
Et puis après ? Est-ce que ces deux faquins méritaient une autre nuit de noces que celle-là ? Ainsi en advienne à tous ceux qui se marient sans amour ! Je souhaite également que tous les marchands de vin qui baptisent leur marchandise soient punis comme M. Cabat ! À la bonne heure, le brave Corbal ! Il aimait vraiment sa future. Aussi Dieu le bénit et lui soulagea le ventre à souhait ! Et prout ! et prout ! Vive Dieu !
Et maintenant, lecteur bénévole, pardonne-moi la gauloiserie de ce conte. Voilà plusieurs fois que je te narre de mélancoliques et sentimentales histoires, si bien que mes souliers