Aller au contenu

Page:Silvestre - Le Conte de l’Archer, 1883.djvu/109

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
89
Le Conte de l’Archer.

m’aviez bien recommandé de ne servir autre maître que le roi Louis.

— Fort bien, reprit le moine, mais il faut avant se servir soi-même et se sauver des dangers. Je n’ai pas hâte de mourir pour que les oiseaux du ciel viennent boire dans mon verre à ma place, faute que je l’aie pu vider moi-même.