Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/11

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Que leur douceur me soit ravie,
Et je meurs désespérément.
Seule, leur ombre sur ma vie
À penché quelque enchantement.

Mon cœur saigne quand on les cueille,
Saisi d’un caprice pervers,
C’est pour toi que je les effeuille
Ô toi pour qui j’écris ces vers !