Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
114
LES AILES D’OR
Et, tant que des jours me luiront,
Mes anciens rêves veilleront
Au seuil de ma vie écoulée ;
Mais quand je serai délivré,
Vers la tombe où je dormirai
Ils reprendront leur envolée !