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LES AILES D’OR

Je crois aux saints plaisirs comme aux saintes douleurs,
Au charme des baisers, à la vertu des pleurs,
À tout ce qui nous vient de notre âme ou des choses.

Je ne sais ici-bas qu’aimer et que souffrir,
Et ne souhaite rien, à l’heure de mourir,
Qu’un sourire de femme et qu’un parfum de roses !