Page:Silvestre - Les Ailes d’or, 1891.djvu/93

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
76
LES AILES D’OR

Des maux que nous souffrons le principe odieux !
Laissez-nous croire, au moins, que d’insensibles causes
Poussent vers le néant les êtres et les choses,
Et ne nous forcez pas à maudire les dieux !