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Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/278

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Devant la grâce de ses traits
Toutes grâces sont défendues.
— Fuyez seuls vers les étendues,
Doux oiseaux, et mourez après ;
Car à ses pieds je volerais
Si des ailes m’étaient rendues !