Aller au contenu

Page:Sima qian chavannes memoires historiques v3.djvu/22

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

II. - Dynastie Yn


(Généalogie des Yn : Hoang-ti engendra Hiuen-hiao, qui engendra Kiao-ki, qui engendra Kao-sin[1], qui engendra Sie. Sie fut le premier ancêtre des Yn. Sie engendra Tchao-ming, qui engendra Siang-t’ou, qui engendra Tch’ang-jo, qui engendra Ts’ao-yu, qui engendra Ming, qui engendra Tchen, qui engendra Wei, qui engendra Pao-ting, qui engendra Pao-i, qui engendra Pao-ping, qui engendra Tchou-jen, qui engendra Tchou-koei, qui engendra T’ien-i, lequel n’est autre que T’ang, fondateur de la dynastie Yn[2]. — Depuis T’ang jusqu’à Hoang-ti, il y eut dix-sept générations).

L’empereur
01 - T’ang Yn Fondateur de la dynastie Vainqueur des Hia

02 - Wai-ping[3]
03 - Tchong-jen
04 - T’ai-kia[4]
05 - Ou-ting
06 - T’ai-keng
07 - Siao-kia[5]
08 - Yong-ki
09 - T’ai-meou[6]
10 - Tchong-ting
11 - Wai-jen
12 - Ho-tan-kia
13 - Tsou-i

  1. Kao-sin n’est autre que l’empereur K’ou, et toute la généalogie qui précède a déjà été exposée plus haut à propos de l’empereur K’ou.
  2. Cf. tome I, pp. 175-176.
  3. « L’héritier présomptif de T’ang, T’ai-ting, était mort prématurément ; c’est pourquoi on donna le pouvoir à son frère cadet qui venait après lui, Wai-ping.
  4. « Fils de l’ex-héritier présomptif T’ai-ting. Comme il était débauché, I Yn l’exila dans le palais de T’ong ; au bout de trois ans, il se repentit de ses fautes et blâma sa propre conduite ; alors I Yn alla le chercher et lui rendit le pouvoir ». — Cf. tome I, n. 03.162.
  5. « Frère cadet de T’ai-keng ; la conduite des Yn se pervertit ; il y eut des seigneurs qui ne vinrent pas. » — D’après les Annales principales (tome I, p. 189), Siao-kia était le fils de T’ai-keng.
  6. « Frère cadet de Yong-ki ; à cause de la naissance du mûrier, il reçut le titre de Tchong-tsong ». — Cf. tome I, p. 190. -191. .