Page:Simon - La Peine de mort, 1869.djvu/171

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XI


Deux jours après, je réfléchissais tristement, dans ma mansarde de la rue des Chanoines, à la position de tous mes amis, et je songeais au moyen de vaincre la délicatesse de Marion pour lui faire accepter l’argent qui lui était nécessaire pour aller à Caen et y conduire son beau-père, lorsqu’à ma grande surprise je la vis entrer chez moi.

« Bonjour, mon Jules, me dit-elle de son