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notice sur le couvent du refuge ou st-maurice au puy
Supérieures du Couvent du Refuge.
1687. —
La mère de l’Ascension.
1730. —
Marie des Anges d’Ussel.
1760. —
Paule de Montgiraud.
1766. —
Anne de la Roche-Lambert.
1781. —
Surrel cadette.
1787. —
Gabrielle Surrel.
1788. —
Bérard.
1790. —
Marie-Anne Pellissier.
Professes et dignitaires.
1680. —
Marie-Anne et Jeanne d’Apcher.
1682. —
Marie de Noyer d’Ozon.
1730. —
Paule de Vocance.
1730. —
Bergonhon.
1730. —
de Combes.
1755. —
de Saint-André.
1760. —
Marguerite Rabaste.
1760. —
Anne Doriol.
1766. —
Marguerite de Montbrac.
1766. —
Jeanne Surrel.
En 1778, deux filles du Refuge, accusées et convaincues d’avoir tenté de mettre le feu à cet établissement, furent incarcérées dans la maison de force de l’Hôpital-Général, en attendant leur jugement. Ces faits sont consignés dans un procès-verbal dressé le 27 janvier 1778 par Jacques Demorgues, premier consul et maire du Puy. Cette pièce, qui fait partie des archives municipales[1], est reproduite à la fin de cette notice.
- ↑ Archives communales, série F. F.