Page:Société royale et centrale d'agriculture - Instruction concernant la culture en grand des pommes de terre, 1829.djvu/147

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2°. On a cherché à y introduire le parenchyme cru, râpé et lavé, afin d’enlever l’eau de végétation.

3°. On a essayé les pommes de terre coupées par rouelles, blanchies dans l’eau bouillante, puis desséchées et passées sous les meules : cette farine s’associa bien aux farines de céréales, et eut plus de succès que les farines de légumes.

4°. La fécule et le parenchyme réunis offrent un résultat encore meilleur ; mais pour éclairer autant que possible sur ces diverses manipulations, on croit essentiel de joindre un extrait de l’Instruction de janvier 1816, déjà citée, parce qu’elle contient des préceptes sur la panification en général, et sur l’emploi des pommes de terre, que l’on ne saurait trop faire connaître.

La bonté du pain dépend, on n’en peut douter, des soins apportés à sa fabrication, soit que l’on

    dont on doit regarder comme un devoir de rappeler le nom, puisque l’on paraît ne plus se" souvenir qu’il est l’auteur de cette conception philantropique, et qu’on en fait souvent honneur à un étranger, de mérite sans doute, pour lequel cependant il ne fallait pas oublier notre bienfaisant compatriote.