Page:Soderhjelm - Marie-Antoinette et Barnave.djvu/246

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Fin de la correspondance avec 2 : qui est parti le même jour ; c’est 4 : 15 :[2] qui va prendre la correspondance.


  1. Ces dernières lignes représentent une note de la main de Marie-Antoinette.
  2. Nous n’avons pas trouvé trace de cette correspondance avec 4 : 15 : C’est-à-dire Duport, si tant est qu’elle ait jamais existé. Mais Mme Campan affirme dans ses Mémoires que la reine reçut Duport après le départ de Barnave. À la vérité, dans ce qu’elle dit à cet égard, elle se trompe sûrement de date, car nous avons pu constater, par les lettres présentées ici, que la Reine, pendant les mois qu’elle a été en relations avec Barnave, n’avait vu Duport que très rarement, peut-être même qu’une seule fois. Mais nous avons un autre témoignage, celui de Fersen ; parlant de sa visite aux Tuileries, au mois de février, il dit : La reine me dit qu’elle voyait souvent Duport et Alexandre de Lameth… (Mme CAMPAN : Mémoires, Ed. Carteret ; II, 217 ; A. SÖDERHJELM : Fersen et Marie-Antoinette, p. 241-242).