Page:Sonnerat - Voyage aux Indes orientales et à la Chine, tome 2.djvu/232

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
ET A LA CHINE. Liv. IV. 171


queue est noire, avec des lignes transversales d’un blanc jaunâtre, le tuyau de chaque plume est de la même couleur, les pieds sont roussâtres, le bec est noir, & l’iris d'un jaune terne.

La grande Caille de la Chine.

Elle est un peu moins grosse que la précédente ; les plumes du sommet de la tête sont d’un gris terreux, coupées par des bandes transversales qui sont noires ; leur tuyau est blanc ; la joue est d’un roux clair : il naît de l’angle supérieur du bec une ligne blanche longitudinale qui passe au-dessus de l'œil, & s'étend presque jusqu’au derrière de la tête. Les plumes du col, du dos & du croupion sont longues & étroites ; elles sont d’un gris terreux très-clair, semées de bandes noires transversale, & sur le milieu de chaque plume, il y a une bande blanchâtre assez large par le haut, & qui se termine en pointe du côté de l’extrémité de la plume. Les plumes du croupion sont beaucoup plus longues que la queue, & la couvrent entièrement les aîles sont brunâtres; mais sur les côtés extérieurs de chaque plume, il y a de larges taches noires & rondes. Le ventre est roussâtre ; les plumes en sont longues & étroites, & il y a de même une bande blanchâtre sur chaque plume ; mais il n’y a sur les côtés des plumes que quelques taches noires. Le bec est noir & l’iris rouge ; les pieds sont jaunes.

La Caille Brune de Madagascar.

Elle est de la grosseur de la Caille d'Europe ; le dessus de la tête, le haut du col en arrière sont couverts de plumes

Y2