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Page:Sonnerat - Voyage aux Indes orientales et à la Chine, tome 2.djvu/328

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ET A LA CHINE. Liv. V.


Le Bec-ouvert blanc des Indes.

J'ai confervé à cet oiseau le nom que M. de BuffBn a donné à un oiſeau du même ^enre, ûiîe-îêM enTOïai:;'de- ' ' ••• 1.; Cïndichéry.:^ celui que je,vais décrire' ne âîfï&réde' cetiff <fe ' . ' M, de:Buffbn que par les couleurs, peut-être cette diffé¬ rence .'vient- elle: de- ée me- l'ua eft le -mâfe '&' l'autre la femdle, tes caraâères Àaiît les mêmes'dans-ïe^ deux •indm» dus, je -les rapporterai têts que M» de Buffon les si décrite i « Cet ôifeau^ dît cet Écrivain iuMirne, à <îè§ traits quî îé » rappellent au genre des Hérons, & en même-temsil en a » d'auiççs qm r-en élaigneni 5 il a de • As ?Mte de-ces fingu- » larités ou défeauofités que nous avons déjà remarquées far » un périt nombre d'êtres* Le nom. de Bêc-Qu^crï marque cette 1 » difformité: le bec dé cet oileau eft en eflfef ôïïvê!t:& béaiie • ; » fur les deux tîers de fa lohguenr^ la ^partW dii"dêffli;s & celle ' » du deffous fe déjettant égalenient en-âehôrsst^iE&îîlentr^ » elles un large vlde^ & ne fe rê)oîgnent qu'àlrpxMnÊê» Ïla » les pieds &• les jambes du Héron, mais n'en porte quT » de le carââère lur rongle du doigt du milieu y qm •sé» » îarglt bien en-dedarîs en lame avancée^ mais qui n'eft point »dénteléeàtatrandie<» . :a)Diitetai aux ^aràQères qu'à donné M. de Bufîbny quela Dîâchoire fupérîeure èff dentelée fcr ies bords, depuis la pc&ite ' yiîiqu a là 'moisié dël ià longueur, que les daîgts -de '•dwTOÊ iont mh par une mèmbraiîè jiîfetfà la première artïcuîafic^ les: ailes: s^endenr julqtfau boutade la queue»' 3Là; tête, K' croypibny'le.Tentre '& "les' pérîtes 'pliffîês-fe-^ fôîîtMaà- wc^mî.

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