Page:Sorel - Le Berger extravagant, 1628.djvu/3

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Je ne puis plus souffrir qu’il y ait des hommes si sots que de croire que par leurs romans, leurs poësies, et leurs autres ouvrages inutiles, ils meritent d’estre au rang des beaux esprits ; il y a tant de qualitez à acquerir avant que d’en venir là, que quand ils