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Ces longues attentes affligeoient si fort Lysis qu’il ne pensoit pas avoir assez de vie pour voir jamais le jour de son depart. Comme il s’entretenoit sur cette pensee il treuva un almanach dedans l’estude d’Anselme. Ha ! Curé de Milmons, (dit-il avec un grand transport, parlant à l’autheur) penses tu avec ton